C’est donc samedi 5 octobre qu’aura lieu la grande soirée spectacle à la halle des sports de Bessan où Sandrine reversera l’intégralité des dons au Pr Marc Ychou qui est aussi le directeur général de l’Institut du Cancer de Montpellier.
Encore quelques jours et nous pourrons enfin dévoiler les sommes recueillies durant de nombreux mois au profit de l’Institut du Cancer de Montpellier. Un somme qui servira aux enfants malades soignés en radiothérapie à Val d’Aurelle, puisque le projet porte sur l’achat d’un rétroprojecteur ou les enfants pourront sélectionner eux-mêmes leur dessin animé afin d’apaiser leurs maux et leur peur pendant les soins.
PLUS FORT LA VIE, PLUS FORT SANDRINE
Je tiens encore à rappeler le dévouement de cette maman orpheline d’un enfant en 2014 suite à ce terrible le fléau, le cancer. Il n’y a pas d’âge pour partir me direz-vous, mais à 23 ans nous ne sommes pas l’ordre des choses d’où l’acceptation est très difficile. Mais Sandrine a décidé de prendre le taureau par les cornes, elle décida avec la grande aide des psychologues de ICM de trouver un projet, mais un projet de vie. C’est alors quand quelques mois elle organisa sa première grande soirée où elle récolte alors 21 000 euros en 2014 et en 2016 26 000 euros. Vous imaginez ce bout de femme ? Après son vécu cette force titanesque qu’elle a pour réaliser l’impossible en apparence!
» L’IMPORTANT EST DE DONNER AVEC SON COEUR. «
Début février de cette année, je me suis proposé de l’aider tout d’abord avec une promesse que l’on parlerait de son projet. Utiliser tous mes réseaux pour faire entendre que cela n’arrive pas qu’aux autres. Avec l’aide de Hérault-Tribune, Stéphane Pépin-Bonnet maire de Bessan et de Chris London du magazine du cap d’Agde, les choses sont allées bien plus vite qu’on ne le pensait. Et je les remercie mille fois pour leur précieuse aide a promouvoir le projet. Puis la finalité, c’est que je me suis rendu compte que je n’allais pas être le communicant, mais acteur auprès d’elle.
J’ai réalisé que beaucoup de personnes écoutaient nos messages, et c’est bien là que je me suis dit il va falloir que j’exprime une réalité et que j’avais un message a faire passer. Celui d’un garçon ou tout lui sourit, mais qu’à la fois, on se doit d’aussi penser à ceux qui sont dans le besoin. Et c’est le bon accord entre Sandrine et moi, car nous représentons deux opposés de vie qui sont liés par un combat celui de la lutte contre le cancer. Nous devons tous mettre la main à la patte, avec chacun ce qu’il peut. C’est ensemble qu’on réalise de grandes choses. Et notre combat se dirige vers les plus petits, les enfants.
Et par mon expérience plus fort la vie au côté de Sandrine, j’ai pu rencontrer les professeurs, les malades, les salles ou sont soignés les malades. J’ai pu toucher du doigt un sujet auquel on refuse d’écouter tant qu’on n’y est pas confronté. Maintenant, j’ai assisté Sandrine dans son projet, il m’était légitime de le comprendre sinon ça n’avait aucun sens.
APPRENDRE PAR L’ACTION
Je peux vous dire que je suis heureux et j’ai appris par ce projet même si je ne représente rien face à l’énergie de Sandrine et les donateurs que vous avez tous été ! J’apprends que le bonheur peut-être éphémère et qu’il faut profiter de tous les moments qui se présentent à nous. Évidemment pas de dramaturgie, on porte la maladie avec le sourire, si on baisse les bras, on n’avance pas ! Sandrine en est l’exemple.
EN CONCLUSION je voulais tous vous remercier déjà d’avoir pris le temps de nous lire, de nous suivre et d’y avoir participé, car ce qui compte, c’est ce que vous donnez avec votre cœur ! J’espère que vous serez nombreux samedi dès 18 : 00 ! Mille mercis.
Ortiz Kévin.
