L’important est d’être soi-même dans ce que vous allez entreprendre, nous parlons plus de frasques, ou de la réussite en soi. Il faut parler de ses échecs, de ses réussites, ce qui a mené au succès. Sachez que l’envie ne mène à rien, ce qui compte c’est oser, et pas se poser sur des choses périphériques qui vous mèneront à rien.
Ne soyez pas piéger par ne rien faire, et croire que ça vous laisse toutes les perspectives ouvertes. C’est une erreur, en étant statique forcément on avance pas. Celui qui va réussir n’est pas forcément le plus intelligent mais celui qui va oser. Une multitude d’échecs nous mènent un peu plus au succès, et le succès ça se décide.
L’égo cherche une identité, avec Olivier et l’équipe de la boucherie, nous cherchons seulement à être nous même. En étant nous mêmes, nous reflétons au travail ce que nous sommes hors travail. Je considère que le boulot est déjà assez difficile pour essayer de jouer un rôle, ou rentrer des codes qui en 2022 sont dépassés.
Se connecter avec soi-même, être encré mais en mouvement, et partager la joie, la bonne humeur mais aussi le droit d’être moins bien. Nous sommes une entreprise à l’échelle humaine, nous ne sommes pas des robots, qui n’a pas ses petits ou gros problèmes? Pour comprendre le voisin, faut t’il déjà bien se comprendre et accepter ses propres défauts.
Nous sommes bouchers, nous faisons un métier de passion, et aimons la vie avant toute chose.
Titre inspiré de Kery James » banlieusard «